Selon une tradition immuable depuis Berlin en 1936, la flamme olympique est allumée par les rayons du soleil qui frappent un miroir parabolique devant les ruines du temple d’Héra à Olympie, avant de commencer son périple jusqu’à la ville qui accueillera les compétitions. Paris 2024 présente cependant une particularité : pour la première fois dans l’histoire des Jeux, la Grèce demande au pays hôte de la nouvelle édition de participer au choix des étapes pour le relais de la flamme sur son propre sol. Une marque d’amitié et de reconnaissance pour la France qui, au cours des deux siècles passés, a apporté son soutien à la genèse de la Grèce moderne et participé au rayonnement culturel du pays.

Comme la flamme, cette requête suit alors tout un parcours : relayée auprès du comité d’organisation de Paris 2024 par les instances olympiques grecques, elle est adressée au CEROU par l’intermédiaire de son directeur Éric Monnin, également vice-président de l’université à l’olympisme, qui, pour y répondre, s’adjoint les compétences de Georges Tirologos, historien et ingénieur en analyse des sources historiques à l’ISTA ; à l’arrivée, la collaboration place l’université de Franche-Comté au cœur d’une démarche symbolique entre les deux pays.

Retrouvez l'article complet ici:

Rapport de relais de la torche de Paris 2024